(le français suit...)
Thank goodness we are retired! Our pension allows us to travel so much more than the average VSO-Cuso volunteer whose monthly stipend barely covers a month's expenses. We deeply appreciate our good fortunate.
The last weekend in September we took off to Splashmin's Resort. It's only one hour outside Georgetown and it is very popular on Sundays. On Friday we had the hotel and beach to ourselves. We had arranged for transportation for noon on Friday but due to something or other, the hotel did not pick us up until 2:30 p.m. To compensate they gave us the honeymoon suite...fake rose petals scattered on the floor, balloons on the bedposts, candles in the bathroom, a bottle of non-alcoholic bubbly - a lovely modern room with a small balcony. Breakfast was delivered to our room every morning and so we really used the balcony. I even got up at 5:30a.m. just to take advantage of the cool mornings and all the birds. Saturday we just hung out by the water...the owner of Splashmin widened the creek and brought in the sand to make this beach. The water is very shallow for swimming but so very cool and refreshing! A very pleasant way to spend the weekend (much much better than our hot house in the city where any exercise between 11 and 3 is out).
Notice the new housing development being built right next to the hotel....certainly not for the poor. Jean-Claude and I know why we are here as volunteers and it is not to save the world. Guyana is a middle-level developing country. There is wealth here. An ethical issue for both of us as volunteers is the brain-drain. We are replacing Guyanese skilled resources and professionals who have left the country in droves. There are more than 250,000 Guyanese in Toronto and as many in New York. The University of Guyana estimates that 89% of its graduates will leave Guyana to find work. Certainly one cannot blame them to want a better life. Professionals are paid a lot less here than in other countries. Yet if the University of Guyana is not willing to pay for a professional to develop distance learning products then why have an international volunteer? especially when there is no colleague for a transfer of skills. So much community development effort is dependent on international aid - this creates a horrible dependence when the Guyanese themselves are not willing to stay and help their country prosper despite all the corruption, poor politics. Hats off to those who do stay (like my work colleagues and VSO office staff)!
Déjà trois mois
et la vie continue…Patricia et moi trouvons de plus en plus de chose à
découvrir. La fin de semaine dernière nous sommes allez à un autre petit centre
de villégiature pas trop loin de la ville qui s’appelle Splashmin’s. Une petite
plage où se baigner et une belle chambre à coucher tranquille, c’était une
bonne façon de passer deux jours loin du bruit et la chaleur de Georgetown
(voir les photos). Dans le même complexe le propriétaire fait construire de
belles maisons en visant les riches de Georgetown (45 minutes de route
seulement) et les retraités. Un autre exemple que ce pays n’est pas tout a fait
pauvre. Jeudi soir, juste avant de partir pour Splashmin’s nous sommes allez au
terrain national d’exposition assister au lancement de la foire commerciale
annuelle GUYExpo 2012. Ça aussi c’était intéressant parce que très bien
organisé : la circulation automobile était bien contrôlée/dirigée, les exposants étaient prêt, la
plupart des restaurants de la ville avaient des kiosques pour vendre de la nourriture
et on a vu un très beau feu d’artifice après les discours d’inauguration du
président et du premier ministre. C’était d’abord et avant tout une exposition
commerciale (compagnies aériennes, producteurs de sucre et riz, compagnies
minières, distributeurs d’équipement, hôtels et centres de villégiature,
artistes locaux, etc.) mais aussi tous les ministères du gouvernement étaient
représentés. Une bonne façon de mieux connaître le Guyana et de poser des
questions en quelques heures.
Finalement le
grand événement fût de reprendre la pratique du yoga au Centre culturel indien.
Pour quelques dollars nous pourrons nous joindre à des classes de yoga trois
fois par semaine dans un bel édifice bien aéré. Pour la première fois depuis
toutes les années que nous pratiquons, l’instructeur est indien…intéressant
mais pas très différent jusqu’à date de ce que nous faisions comme yoga depuis
longtemps au Canada. La différence c’est la place, l’environnement et les
autres participants presque tous Guyanais d’un peu tous les âges.
Ayant gagné la
guerre (je pense ?) avec notre petite souris dans la maison, je me suis
attaqué au “dé-fouissement“ de la cour arrière de notre maison. C’est
une grosse pile de déchets de construction avec les restes d’une ancienne
maison démolie et l’accumulation des vidanges des voisins depuis
longtemps !!! Un peu à la fois chaque jour je me débarrasse des déchets et
recouvre les trous et ce qui reste avec l’énorme pile de sable qui est juste
derrière la maison. Mon but est d’avoir un petit refuge où on pourra profiter
de la brise en regardant le ciel, les arbres et les oiseaux plutôt que la cour
intérieur et les maisons adjacentes. Ça s’en vient, encore quelques semaines et
j’aurai fini.
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the entrance - l'arche d'entrée |
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the Honeymoon Suite - la suite "nuptiale" |
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The hotel manager did NOT come with the suite - la responsable de l'hôtel |
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the beach and picnic shelters (benabs), black water - la plage et les parasols (benabs), la même eau foncée que partout dans la région mais très bonne |
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Popular with locals because of the "toys" - les sea-doos à louer attirent beaucoup les Guyanais |
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Beach bar - le bar près du lac |
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New housing development - les nouvelles maisons à vendre |
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not for the poor! - c'est pas pour les pauvres! |
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